Elles dénoncent les quotas  concentréedéséquilibredemandedevenusfrancophonefrancophonesprivéespublié, selon elles, intenables. L’offre francophone baisse dramatiquement, argumentent-elles dans un communiqué commun  concentréedéséquilibredemandedevenusfrancophonefrancophonesprivéespublié durant l’été 2015 par les groupes NRJ, RTL, Lagardère Active et le syndicat des radios indépendantes (Sirti).

« Seuls 242 albums  concentréedéséquilibredemandedevenusfrancophonefrancophonesprivéespublié ont été commercialisés en 2014, contre 718 en 2003, ce qui représente une chute de 66,3 % de la production de musique  concentréedéséquilibredemandedevenusfrancophonefrancophonesprivéespublié en un peu plus de dix ans », pointe le communiqué, s’appuyant sur des données du Syndicat national de l’édition phonographique (SNEP).

Les radios  concentréedéséquilibredemandedevenusfrancophonefrancophonesprivéespublié mettent en avant l’essor des plates-formes de streaming, sur lesquelles l’écoute des utilisateurs est  concentréedéséquilibredemandedevenusfrancophonefrancophonesprivéespublié sur un petit nombre d’artistes. En obligeant les radios à se plier à des règles qui ne contraignent pas les plates-formes de streaming, ces quotas créent un  concentréedéséquilibredemandedevenusfrancophonefrancophonesprivéespublié dans la concurrence, argumentent-elles. Pour la Société des auteurs, compositeurs et éditeurs de musique (Sacem), il est impossible de comparer les deux car les services de streaming sont essentiellement à la  concentréedéséquilibredemandedevenusfrancophonefrancophonesprivéespublié, contrairement aux radios.